A La Roche-sur-Yon comme ailleurs, les OQTF doivent être exécutées !

Communiqué de presse d’Alain Avello
Président de Racine – « les enseignants patriotes » (ex-Collectif Racine)
Membre du Comité exécutif des Patriotes
Ancien Conseiller régional de la Vendée

Dans le contexte du scandale absolu qu’a constitué une nouvelle fois l’assassinat d’un professeur de la République par un islamiste d’origine caucasienne s’étant maintenu illégalement sur le territoire national, terroriste islamiste qui, rappelons-le, aurait dû en être expulsé, avec toute sa famille, dès 2014, si les habituelles associations immigrationnistes ― RESF, Cimade, LDH, etc. — et la réglementation européiste n’y avaient fait obstacle, nous constatons avec consternation que les mêmes associations, gavées de subventions publiques, continuent de plus belle à défier le droit, contre celui, le plus élémentaire, à la sécurité de nos compatriotes.

A titre d’exemple, nous avons été informés d’une mobilisation rassemblant quelques enseignants d’un collège de La Roche-sur-Yon (Vendée), mobilisation menée par Caroline Schumann-Lepley que nous connaissons bien, enseignante de français dans ce collège, officiant en « UPE2A » (enseignement de français dédié aux populations allogènes). Cette mobilisation a pour but affiché d’entraver l’expulsion d’une famille en provenance de Géorgie, bien qu’elle ait définitivement été déboutée du droit d’asile et que toutes les voies de recours légal aient été épuisées.

Si toute personne, provînt-elle du Caucase, lequel inclut notamment, rappelons-le, la Tchétchénie, l’Ingouchie, mais aussi la Géorgie, demandant l’asile en France n’a certes pas vocation à se radicaliser jusqu’à perpétrer un attentat terroriste, il n’en reste pas moins que Samuel Paty comme Dominique Bernard  furent l’un comme l’autre assassinés par des individus qui avaient cette origine en commun. Cela devrait à tout le moins imposer que soit observé un certain principe de précaution.

Nous avons-nous aussi un cœur, au même titre que Madame Schumann-Lepley et ses collègues. Cela nous rend également capables d’ « empathie » à l’égard des individus, a fortiori mineurs, lorsqu’il ne leur reste plus d’autre alternative que de quitter notre pays, où ils ont pu, un temps, accéder à un certain bien-être. Mais la France qui s’honore quand elle offre l’asile à des populations en réel péril dans leurs pays d’origine, ne saurait pour autant accepter une « immigration de confort » en provenance de pays, comme la Géorgie, où aucune menace réelle ne pèse sur la population, sauf à continuer d’accepter que le droit d’asile continue largement de constituer une filière d’immigration clandestine.

Force doit au contraire rester à la Loi de la République, qui ne saurait être défiée par quiconque : par aucune association n’ayant de cesse d’encourager, en la bafouant, le maintien sur le territoire national de personnes en situation irrégulière ― ces associations doivent, aussi longtemps qu’elles joueront ce rôle pernicieux, cesser de percevoir la moindre subvention publique ―, et par aucun militant de cette « gauche » immigrationniste, c’est-à-dire antirépublicaine et mondialiste, à laquelle appartient Madame Schumann-Lepley. Cette personne qui, sous couvent d’un mandat local de la FCPE, menait il y a quelques années une campagne de harcèlement à l’encontre d’un professeur de la République, au seul motif de ses responsabilités politiques, et qui met aujourd’hui en avant sa qualité d’enseignante pour défier la légalité républicaine et s’opposer à des décisions administratives légitimes doit immédiatement faire l’objet de sanctions disciplinaires.