Tout-vaccinal : la main pas si invisible des lobbies pharmaceutiques
Communiqué de presse d’Alain Avello
Conseiller régional des Pays de la Loire
Référent Les Patriotes de Loire-Atlantique
Il y a moins de deux semaines, un étudiant nantais de 24 ans décédait quelques jours après avoir reçu sa première dose du vaccin AstraZeneca. Dans le contexte d’un tel drame, nous exprimions notre émotion et notre empathie à l’égard de la famille et des proches et appelions à ce que le principe de précaution s’applique strictement, d’autant que l’ANSM* a confirmé depuis l’existence d’un risque : l’usage de ce produit aurait dû être suspendu jusqu’à nouvel ordre.
Mais les autorités sanitaires et le pouvoir politique, loin d’observer ce principe constitutionnel qui devrait prévaloir absolument en matière de santé publique, ont préféré, sous influence de l’EMA**, se montrer « rassurants », en invoquant une nouvelle fois la balance bénéfice/risque, tout se passant comme si la croyance consistant à tenir les vaccins comme solution miracle l’emportait sur la rationalité du doute et l’esprit de responsabilité : non seulement le vaccin AstraZeneca demeure en usage, mais la campagne de vaccination s’amplifiera, sans recul véritable sur les effets secondaires.
Les Patriotes de Loire-Atlantique ne se laissent certes pas intimider par l’accusation à la mode de « complotisme » — méthode éprouvée visant à discréditer a priori toute voix discordante et tout libre exercice du sens critique ― ; aussi dénoncent-ils à travers l’irresponsabilité flagrante que constitue le tout-vaccinal, malgré des effets secondaires avérés et pouvant entraîner la mort, la mainmise de puissants lobbies pharmaceutiques, particulièrement efficients auprès des instances de l’Union européenne qui, souveraineté perdue, dictent à la France sa politique sanitaire au plus grand mépris des impératifs élémentaires de santé publique.
* Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
** European Medicines Agency