Nantes n’a plus besoin de Pascal Bolo, mais d’un Rudolf Giuliani

Communiqué de presse d’Alain Avello
Référent Les Patriotes de Loire-Atlantique.

Pas un jour ne se passe désormais sans que ne soient commises, à Nantes, de graves atteintes aux personnes : agressions particulièrement violentes à l’encontre de simples citoyens ou de personnes dépositaires de l’autorité publique, viols d’une extrême sauvagerie, homicides ou tentatives d’homicide par armes à feu… La « ville où il faisait bon vivre », enviée pour sa tranquillité, est devenue un véritable coupe-gorge : elle est aujourd’hui gangrénée  par la délinquance et la criminalité.

Année après année, inlassablement, nous avons tiré la sonnette d’alarme face à une situation de plus en plus intenable, dans la plus grande indifférence, voire le plus complet mépris de la majorité municipale, laquelle s’enferrait dans le déni et faisait largement le choix de l’inaction. Cette majorité a consenti à sacrifier la tranquillité et la sécurité des Nantais sur l’autel d’une idéologie inspirée par l’extrême-gauche, certes propre à complaire à une partie de la population nantaise, mais empêchant de saisir les plus évidentes des réalités.

Si, face à l’exceptionnelle gravité de la situation présente, les autorités municipales et métropolitaines ne disposent certes pas de l’ensemble des leviers pour la contenir et y remédier — il appartient à l’Etat de s’engager dans la mise en œuvre effective des solutions appropriées ―, il leur incombe néanmoins d’assumer désormais leur large part de responsabilité ainsi qu’un changement radical d’approche : a minima, Pascal Bolo, adjoint à la « sécurité », dont l’incompétence est devenue manifeste, doit être remplacé sans délai, cette fonction devant échoir à quelqu’un se montrant capable de fermeté et d’intransigeance.